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Derrière les murs, les cloisons et les portes se trouve un espace commun que les habitants semblent avoir oublié. Ces âmes, dans un état de fiévreuse solitude, ont depuis longtemps fermé leurs volets en oubliant la vie du dehors. Confinés dans un individualisme mortifère, ils ont oublié le pouvoir de l’humanité et toute la joie procurée par la communauté. Et pourtant, il reste l’espoir : l’espoir que le jour viendra où les hommes et femmes entassés dans ces blocs de pierre se rendront compte de l’amour et de ses pouvoirs. Alors, les ternes blocs de pierres se transformeront en de somptueuses, robustes et colorées tours de Babel qui, aussi longtemps qu’elles seront maintenues par le cœur de ses habitants, jamais ne trembleront.